L’IVG ou l’Interruption Volontaire de Grossesse est une pratique faisable par le médecin, mais encore interdite. Et pourtant, c’est une solution qui pourrait sauver plusieurs vies en même temps. Dans certains pays, la loi a été déjà décrétée, dans d’autres, ce n’est pas encore le cas.
Pourquoi accepter l’avortement ?
Cette philosophie de penser que avorter est un péché parce qu’on équivaut à un assassin celui qui fait cela est déjà dépassé par le temps. Selon la constatation des médecins, beaucoup de femmes sont enceintes sans le vouloir. Le programme contraceptif est là, mais les jeunes ne sont pas intéressés, parce qu’en effet, trop de femmes subissent des problèmes par rapport au choix de la méthode qui n’est pas toujours convenable à son métabolisme. D’autres cas sont d’ordre médical parce que la personne a déjà une complication durant sa grossesse. Il y a donc des cas de force majeure qu’il faut tout de même accepter la tolérance à cet avortement.
Les cas qui méritent un avortement
Il faut penser sérieusement à cette pratique de l’IVG au niveau médical. En effet, il est clair que l’on ne doit pas pratiquer ceci en dehors de l’hôpital. Le docteur qui a fait l’intervention doit émettre son rapport sur la prise de la décision. La mère qui est consente ou les membres de la famille doivent signer une décharge sans contraintes de qui que ce soit d’accepter la démarche. C’est d’abord des conditions à respecter.
Le premier cas de motif d’IVG est la constatation du médecin d’après le test que le corps de la femme n’est pas apte à porter un bébé. Parce qu’elle est cancéreuse par exemple et en phase finale et pourtant elle est enceinte, elle ne peut pas garder cet enfant. Ou parce qu’elle est déjà malade donc elle serait incapable de s’occuper un enfant et elle ne peut même pas affronter un accouchement. Cette fois, les médecins vont se concentrer sur l’état de santé de la femme qui peut être avec un traitement bien discipliné, peut tout de même fonder une famille. Alors qu’avec un bébé en cours, il est difficile de faire le choix.
Le second cas et celui-ci est le plus fréquent est quand la maman est encore mineure, voire un enfant de 14 ans par exemple. Médicalement, on sait qu’avec les efforts des médecins, cette jeune fille va tout de même enfanter son bébé. Le comble est qu’elle ne peut pas en prendre soin. Et si elle va donner à un autre parent son enfant, l’avenir de la jeune fille est incertain. D’un autre cas, il est possible que parce que la mère est encore très petite, elle meurt en accouchant. Et pourtant, si l’avortement est à temps, la fille pourra espérer un avenir meilleur.
Le troisième cas est une grossesse à la suite d’un viol. Le viol est un acte criminel, mais ce que nous oublions est que son impact est très lourd à porter par cette jeune fille qui n’a plus d’avenir, car elle est enceinte. Dans ce cas, elle doit avoir le droit d’avorter si c’est encore faisable.
Les autres cas psychologiques qui empêchent une personne de s’épanouir et sera forcé d’avancer dans un mariage ne doivent pas être ignorés. Attention, même si c’est une pratique traditionnelle, il faut aller à l’hôpital quand on pense avorter.